Carnet
Paul AUSTER, comme moi, est fasciné par les coïncidences. Il a
receuilli certaines d'entre elles dans un Carnet Rouge, publié chez
Actes Sud, comme l'ensemble de son oeuvre traduite en français.
Donc,
mon oeuvre n'étant pas encore traduite, je me contente de publier sur
cet exellent blogue. A propos, DJ, peux-tu contacter tes voisins
amerloques pour
me trouver un éditeur bien placé pour me bombarder prix Pulitzer ? Et
une traductrice, car mon attitrée est un peu trop british pour me
propulser Pulitzer. Je pourrais demander à mes enfants qui ont séjourné
outre-Atlantique, mais on m'accuserait de faire travailler des gosses.
Je ne mange pas de ce pain-là.
Ce
que j'aime chez Paul AUSTER, c'est que je ne comprends pas ses romans :
La Trilogie NewYorkaise par exemple est un livre génial, mais je n'y
comprends rien, même à la troisième lecture. (Que de paradoxes). C'est
comme Umberto ECO, pareil, j'y pige rien. Mais c'est beau.
Donc, pour revenir à mes moutons
(penser à faire le ménage), je reprends une vieille série : les
coïncidences. Demain ; ce soir j'ai la flemme.
La flemme du lundi soir. Et faut que j'appelle ma belle. Demain, j'appellerai mes enfants. Pfff !
PS : STV, est-ce que les coucous étaient confinés en Suisse aussi, à cause de la grippe aviaire ?