Promis
Demain je m'y remets.
Mais pfff ! Que les vacances furent longues et parfois difficiles ! Je ne narrerai pas le trajet de retour de l'opulente et odorante Bretagne où j'ai croisé Laouen, ni un weekend scabreux où je parlai allemand jusqu'à plus soif (1), ni la découverte pusillanime d'un blogue naissant qui promet beaucoup, ni celle inconséquente d'une plage basco-landaise ventée et humide (2), pas plus que le café de Téta (qu'elle sous-traite à sa dentiste de soeur aphone), encore moins des étoiles silencieuses à faire pâlir d'envie un STV encanaillé.
Je me tairai donc jusqu'à demain, où (3) vous découvrirez esbaudis les nouvelles aventures de Ricochet dans la suite de l'inénarrable saga de l'été. (4)
(4) Il y a une pub qui me fait rire : "Il est beau l'été CASTrO".
(3) ce pronom relatif de lieu introduit une subordonnée temporelle. C'est curieux.
(2) putaing, cette vague a trempé mes tennis neuves qui sentaient le pneu.
(1) noch ein Pils, Bitte.
Et voilà le travail :