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10 janvier 2006

A l'image du Loup et de STV (j'aurais du écrire aux images), je vais vous livrer mes journées radio quand je travaille chez moi, ce qui arrive somme toute souvent (je n'ai pas dit sieste toute).
Avant 9 heures, j'écoute Radio Classique, parce que le service public n'est pas à mon goût dans cette tranche horaire. Je reçois les nouvelles économiques, qui gouvernent le monde, quoi qu'on en pense. Et les revues de presse sont drôles.
J'y reste d'ailleurs jusqu'à 11 heures, parce que les programmes y sont bons : on y passe plein de morceaux connus, et faciles à écouter en fond sonore, sans trop distraire maconcentration.
Quand j'y pense, je bascule sur France Inter pour écouter Le Fou du Roi, parce que ce n'est pas si souvent qu'on peut rire. FI m'accompagne jusque vers 16 heures, y compris le jeu d'Emile Euro.
Puis c'est France Musiques, pour Alain Gerber et son "Jazz est un roman", qui permet de retrouver des morceaux oubliés, truffés de commentaires et d'anecdotes.
A 19 heures, je repasse sur FI, pour le Téléphone sonne, qui rappelle que la France est profonde.
Le mardi soir, c'est France Musiques, pour Un Mardi Idéal, que je vous recommande (mélange de jeunes interprètes, classiques ou variété).
Le dimanche soir, Le Masque et la Plume sont sacrés.
Pareil pour le vendredi (Pollen) et le samedi (Le pont des artistes).
Les autres soirées sont aléatoires.

PS. Je lis Crime et Châtiments. Putaing, ça craing. Me racontez pas la fin.
PS2. Merci d'avoir lu cette note sans intéret.
PS3. Comme il ne se passe rien (ou presque) sur FRIVOLI, le vais me fendre d'un éditorial.
PS4. Bien la peine que je me tue à réaliser une bannière, pfff, pas un comm là-dessus !